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Conseils pour réduire vos coûts d'impression

Audit d’impression : pourquoi faut-il changer l’approche de la gestion des impressions ?

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L’approche traditionnelle de la gestion de l’impression se résume souvent à des actes
décidés sans réelle stratégie. Généralement,on  donne la priorité au remplacement des
équipements, et ces achats sont souvent opportunistes et indépendants des autres
projets informatiques.

Les différents achats de matériels, de consommables et de services de support sont,
la plupart du temps, morcelés entre l’informatique, les services généraux
et/ou les départements fonctionnels – ces derniers pouvant eux mêmes
être séparés entre différents sites et services.

La plupart du temps, aucune réflexion n’est entamée quant à l’utilisation
des documents et les processus liés à leur production
et diffusion. En définitive, très
peu d’entreprises disposent d’une vraie stratégie documentaire.

Ce type de gestion des moyens d’impressionet de leurs évolutions n’est pas sans conséquence
pour la qualité du service rendu et des coûts associés. On constate ainsi une hétérogénéité
forte de modèles
, voire de marques, ce qui se traduit par une pléthore de consommables disparates,
de nombreux fournisseurs différents avec leurs contrats associés, le tout avec
peu ou pas de contrôle.

Les équipements eux-mêmes sont rarement adaptés aux besoins spécifiques des utilisateurs.
On note ainsi des fonctionnalités redondantes, des équipements trop spécialisés, des excès
de capacité ou, au contraire, des sous-capacités.

La gestion au quotidien s’avère ainsi lourde et coûteuse, car elle génère d’importants
frais d’achat et de stockage de consommables, ainsi que des coûts de maintenance et
de support utilisateur élevés.

On note par ailleurs une disparité entre le confort théorique et le confort réel des
utilisateurs, qui continuent de penser qu’une imprimante personnelle est plus
appréciable qu’un moyen distribué.

Sans parler du manque, voire de l’absence complète de visibilité et de reporting.

Si vous reconnaissez votre organisation dans ce portrait de la gestion des impressions, il est temps
de positionner l’optimisation des impressions comme un projet prioritaire. Commencez par
un audit approfondi de la situation actuelle…

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Les matériels et services d’impression sont un secteur d’achat important pour les services de l’État. Or, la mise en place d’une politique d’impression et d’une bonne stratégie d’achat peut permettre des gains très importants au moment de l’achat mais aussi pendant l’utilisation des solutions choisies.

Ce secteur d’achat est au cœur de la politique de développement durable définie par l’Etat en 2008 car il favorise d’autres actions et comportements durables comme la réduction de la consommation de papier.

Un 1er travail interministériel avait abouti à la publication du document de référence « le guide pratique sur la politique d’impression des services de l’État  » qui est toujours d’actualité.

Dans la continuité de ces travaux, le SAE a établi les principes d’organisation suivants :

  • Les matériels de proximité seront acquis au travers de l’accord cadre interministériel mis en place par le SAE en 2010.
  • Les marchés d’équipement de moyens de production lourds seront encadrés par le SAE qui apportera son expertise et ses conseils pour soutenir les services dans leur projet.

Des progrès ont été faits mais des marges de progrès importantes demeurent :

  • dimensionnement du parc : amélioration de l’analyse des besoins
  • raisonnement en coût complet : coût d’acquisition et d’utilisation
  • capacités de mutualisation des matériels sous exploitées

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Audit de parc de systèmes d’impression : retours

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Il est difficile de tirer des conclusions généralistes et « universelles » des audit de parcs de systèmes d’impression. En effet, chaque parc a ses propres caractéristiques liées à l’historique de l’organisation qui l’utilise, liées à l’historique des relations avec le ou les prestataires de services , liées à ,la culture du ou des services qui les gèrent…il y a donc autant d’audits différents que de parcs à auditer.

Pourtant, certaines tendances se répètent très fréquemment et même si elles n’ont pas valeur de loi, elles donnent de précieuses indications sur ce que nous pouvons attendre de la démarche.

Premier constat : quelle que soit l’organisation, sa taille, les économies réalisables après optimisation du parc et des usages représentent entre 15 et 25 % du budget initial.

Deuxième constat : les modes opératoires autour du parc (gestion des consommables, des dépannages, de la maintenance préventive) sont très hétéroclites et ne donnent pas satisfaction ni aux utilisateurs, ni aux gestionnaires du parc. Ils peuvent donc (et doivent) être améliorés.

Troisième constat : même si les utilisateurs ont toujours un mouvement de méfiance par rapport à l’audit qui est considéré comme synonyme de réduction de moyen et de confort, ils sont volontaires et intéressés par une démarche d’amélioration des outils dans un cadre budgétaire pourvu qu’ils en soient acteurs et que leur parole soit écoutée. En associant donc réellement les utilisateurs à la démarche, la réussite du projet est assurée et très souvent les résultats améliorés.

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Audit d’impression : la stratégie d’impression pour maîtriser les coûts des PME

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Bien qu’il soit dorénavant admis que les coûts d’impression représentent entre 1% et 3% du chiffre d’affaires annuel d’une entreprise, 80% des PME françaises n’ont toujours pas de politique de réduction des coûts d’impression.

Tandis qu’une majorité de PME  se sont équipées d’une imprimante multifonction (MFP), seules deux PME sur dix encouragent leurs collaborateurs à l’utiliser pour numériser les documents et partager l’information plus facilement. L’enquête révèle que les PME ont investi dans des équipements de haute qualité, cependant l’utilisation d’un MFP reste basique : 86% pour l’impression, 43% pour la photocopie et seulement 16% pour la numérisation.

La mise en place de bonnes pratiques n’a pas encore été suffisamment encouragée. Pourtant, une imprimante multifonction offre un immense potentiel de productivité à une entreprise… Encore faut-il savoir l’exploiter. Moins d’un quart de ces entreprises (23%) propose l’utilisation de l’impression recto verso par défaut, une initiative qui diminuerait le coût de la page imprimée. Elles ne sont que 20% à encourager la dématérialisation des documents (numérisation et envoi par email ou sauvegarde sur clé USB par exemple), 15% à offrir des guides d’utilisation pour l’impression couleur, et 7% à proposer un système d’authentification personnelle.

La réduction des coûts passe encore essentiellement par la négociation à la baisse des coûts d’acquisition et de fonctionnement (achats de matériels, achats de consommables, contrats de maintenance) au détriment d’une stratégie d’impression à long terme orientée vers la productivité.

Pourtant les 65% de PME françaises à avoir pris des mesures reconnaissent que la réduction des pages imprimées vient plus de pratiques ponctuelles que d’une réelle stratégie d’impression : seules 2 PME sur 10 imputent la diminution des pages imprimées à une amélioration des bonnes pratiques dans leur entreprise.

Cette gestion stratégique de l’impression (contrôle de l’accès à la couleur, dématérialisation des processus documentaires, mobilité) tient une grande place dans la réduction des coûts d’impression pour les 12% d’entreprises l’ayant déjà adoptée. Cependant, il reste encore un grand travail d’information à faire auprès des dirigeants de PME, car près d’une PME française sur deux (41%) ne voit l’impression que comme une commodité.

Ainsi la mise en place de bonnes pratiques d’impression et l’utilisation optimisée des systèmes d’impression permettent de maîtriser les coûts et d’améliorer la productivité.

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Audit d’impression : notre approche

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Nous n’avons pas tous la même approche de l’optimisation des moyens d’impression (c’est heureux !), ni même de l’audit préalable.

Pour de nombreux consultants, plutôt spécialisés dans la réduction de coûts, l’audit se résume à la mise en place d’un outil de tracking. Cet outil est présenté comme l’élément central de l’étude. Il est décrit dans toute sa complexité, ses performances…

Dans la réalité, le tracking des impressions est facilement réalisable à partir d’outils simples et… gratuits dans un premier temps. A notre avis, il ne s’agit pas de crouler sous les statistiques mais bel et bien d’avoir une bonne approximation des volumes réalisés. Certains vous expliquent que leur logiciel traque toutes les impressions, leur format, leur provenance, l’utilisateur… et ils vous proposent un audit sur un échantillon duquel ils extrapoleront un modèle global. On peut alors s’interroger sur l’utilité d’un outil cher, mis en place sur une période plus ou moins longue pour n’obtenir au final qu’une évaluation, sans parler de la qualité des analyses qui accompagnent les magnifiques graphiques obtenus…

Cette approche très technologique et mathématique s’applique peut-être à de grandes organisations (et encore, pour avoir longuement pratiqué les grands comptes, je ne suis pas persuadée que cette approche soit la meilleure). Mais pour les petites et moyennes organisations, elle est clairement inadaptée.

Notre approche est plutôt d’observer la totalité du parc et de ses usages, d’évaluer les volumes avec des outils simples et pragmatiques, de recueillir le point de vue des utilisateurs et des pilotes du projet. L’audit préalable est bien un outil d’analyse de la situation actuelle et non un relevé de chiffres.

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D’abord quelques chiffes :

  • la consommation de papier croît de 6 à 8 % par an.
  • en moyenne, un matériel d’impression a 3 utilisateurs.
  • 15 % des pages sont jetées sans avoir été utilisées.
  • 30 à 60 % des appels Help desk sont dus aux documents et à leur impression.

Ces chiffres peuvent être analysés selon 3 niveaux :

  • niveau économique : le poste impression coûte entre 400 et 1 200 € par employé et par an. Ce budget demeure un des dernier à ne pas être optimisé dans les entreprises.
  • niveau technologique : la convergence entre les fonctions copieur, fax et imprimantes est une opportunité qui permet d’envisager l’utilisation par plusieurs utilisateurs de multifonctions.
  • niveau environnemental : « imprimer moins » entre de plus en plus dans les démarches environnementales des administrations et entreprises.

Devant ces constats édifiants, certains voudraient vous faire passer directement de votre parc actuel (géré traditionnellement) à la migration des flux papier vers l’électronique.

Peu d’organisations peuvent mener une telle mutation en un seul bond, et à quel prix ?

Le cheminement le plus réaliste et celui qui fournira des résultats durables est le suivant :

Ainsi, chacun pourra être accompagné pour s’approprier les nouveaux outils (nouveaux matériels, nouvelles implantations…). Puis de nouveaux usages seront mis en place (gestion des consommables, bonnes pratiques d’impression…) et enfin les flux papier pourront être dématérialisés.

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Rencontrer avant de répondre aux AO publics

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La prise de décision de l’administration pour choisir un fournisseur suite à un appel d’offre est influencée par 4 facteurs :

  • la réputation de l’entreprise candidate qui jour pour 20 % dans ce choix
  • les contacts pris en amont qui eux vont influer à hauteur de 28 %
  • la réponse à l’appel d’offre entre à 34 % dans le choix
  • la prestation orale éventuelle interviendra pour 18 %

Ainsi presque la moitié de la décision dépend de ce qui s’est passé

avant la parution du cahier des charges.

De plus, de nombreux marchés inférieurs à 90 000 € ne font pas l’objet d’une large publicité et seules les entreprises connues sont appelées à y répondre.

Si votre objectif pour 2012 est d’accéder à la commande publique et au potentiel qu’elle représente, il vous faut donc mettre en place une stratégie commerciale. Il s’agit de rencontrer les prescripteurs techniques pour vous présenter.

Pour cela, deux grandes pistes à explorer :

  • le relationnel : assister aux vœux du maire, aux manifestations locales liées à l’économie, aux salons des collectivités…Cette méthode vous permettra de vous faire connaître des administrations locales dans un cadre informel, de rencontrer les élus qui vous faciliteront l’accès aux personnes compétentes.
  • le plan de prospection : définir la liste des administrations que vous visez et la segmenter, selon vos activités par exemple ou selon la zone géographique. Il conviendra de préparer alors vos éventuels rendez-vous en établissant une liste de vos avantages et des questions à poser.

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Vous souhaitez optimiser votre parc de systèmes d’impression.

Vous avez audité ou fait auditer votre parc actuel.

Votre futur parc optimisé est défini en termes de matériels et de services attendus.

Il ne vous reste plus qu’à trouver le prestataire qui le mettra en œuvre.

Vous allez donc lancer une consultation dont l’enjeu est important puisqu’il s’agit de choisir l’entreprise partenaire qui assurera la réussite de votre projet et vous permettra d’atteindre les objectifs d’optimisation…ou pas.

Le cahier des charges est l’élément central de cette consultation. sa rédaction, son niveau d’exigences en terme de réponses, son exhaustivité en termes de demandes sont les garants de la pertinence du choix final.

A minima, il devrait avoir la structure suivante :

  • Contexte : explication de votre projet, des étapes précédentes, des attentes…
  • Consultation: les règles doivent être claires pour tous, planning, formalisme…
  • Définition et spécifications des matériels : cette partie doit anticiper le dépouillement des réponses et le faciliter.
  • Maintenance et consommables : les demandes formulées doivent avoir pour objectif la productivité et la disponibilité du parc.
  • Services liés au parc : il s’agit ici de formuler toutes les demandes en vue de la satisfaction des utilisateurs, du suivi du parc et de sa gestion.

Notre conviction dans ce domaine est qu’il faut obliger les candidats à répondre dans un cadre précis. Il est toujours plus facile et rapide de comparer des offres qui ont la même structure que de devoir lire des présentations généralistes et des plaquettes commerciales pour essayer d’y trouver les éléments qui sont nos critères de choix. De plus, le candidat qui se conformera avec qualité à nos demandes et à notre formalisme fera déjà preuve d’une bonne capacité d’adaptation, appréciable pour l’avenir du partenariat.

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Le livre blanc de la couleur

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Quelle est la meilleure manière d’utiliser la couleur pour capter l’attention
et les clients ?
C’est à cette question que répond le livre blanc « Couleur et communication »
dans lequel Pitney Bowes se livre à l’analyse de l’impact et du rôle de la couleur
dans les communications professionnelles.
Pitney Bowes souligne la progression de la couleur dans la communication
d’entreprise : reconnaissance de la marque, facilité de lecture des messages,
rapidité de compréhension et de mémorisation d’un texte sont autant de points
dont les organisations ont décidé de tirer parti en s’appuyant sur les avancées
technologiques. L’éditeur n’oublie pas de mettre en avant l’importance de l’aspect du conteneur, en
l’occurrence l’enveloppe de papier, un domaine dans lequel il fait valoir son expertise.

Extraits du livre blanc :

  • La couleur est un outil d’influence pour améliorer l’expérience client
  • Elle attire l’attention. Reconnaissance d’une marque, facilité de lecture des messages, rapidité de
    compréhension et de mémorisation d’un texte, personnalisation d’un message …voici les éléments clés
    pour les entreprises d’aujourd’hui qui s’intéressent de près à la gestion de leurs communications.
  • Assez populaire chez 26% de grandes marques interrogées, le bleu est utilisé comme dominante
    dans les logos
    . Même si la théorie des couleurs n’est pas une science exacte et n’a pas de règles strictes,
    elle reste un élément essentiel pour le consommateur.
  • Elle favorise la croissance du business et dope les taux de réponses. L’ajout de messages
    personnalisés pertinents en couleur permet d’augmenter le taux d’ouverture et de réponse, accroissant
    ainsi les opportunités de chiffre d’affaire.
  • Le prix de la couleur en baisse.La couleur est abordable pour les entreprises de toutes tailles. Les coûts de
    l’impression couleur numérique ont baissé de 75% pour les utilisateurs ces dix dernières années.

Vous pouvez le télécharger intégralement ici.

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Gouvernance documentaire

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« La gouvernance documentaire se définit comme les moyens grâce auxquels une entreprise gère ses documents. Elle sous-entend une gestion effective des charges, de la technologie, de la durabilité et de la sécurité des documents à travers toute la chaîne opérationnelle ». Le patrimoine informationnel de l’entreprise devient une composante hautement stratégique, mais le management du système documentaire est laissé pour compte, comme le une étude européenne menée auprès d’entreprises européennes. Réalisée par Coleman Parker Research pendant l’été 2009, cette enquête révèle qu’une majorité de dirigeants néglige l’importance de la responsabilité de la gestion documentaire au détriment des résultats et de la réactivité de leur entreprise.

Première indication donnée par l’étude, trois quart des cadres supérieurs reconnaissent les avantages d’une stratégie de gestion documentaire mais aucun d’entre eux ne l’ont mise en place au sein de leur entreprise. Ils sont toutefois conscients de l’impact de l’absence de gestion des coûts sur les résultats de leur entreprise.

Second constat, les procédures de gestion documentaire mises en place sont peu suivies, car leur responsabilité est souvent fragmentée et décentralisée. Plusieurs personnes ont souvent en charge la gestion documentaire au sein de leur entreprise, mais leur périmètre d’action réel reste flou. Doublons d’activités et inefficacités se répercuteraient alors sur la charge de travail des collaborateurs et sur leur performance globale.

Sans stratégie documentaire, pas d’environnement de travail plus durable et plus sûr. pour la mise en place d’une telle politique,  il suffirait que les dirigeants des organisations s’éloignent d’un modèle de gestion documentaire conventionnel et à court terme pour aborder une gestion globale et à long terme répondant aux besoins réels de leur entreprise. Elle permettrait de simplifier les procédures et d’offrir des avantages à long terme tels que la réduction des coûts et de l’empreinte écologique, l’amélioration de la sécurité et une meilleure utilisation des ressources.

Reste surtout à faire émerger dans les entreprises la fonction de D&IM (Document & Information Manager). La personne en charge saura proposer et construire une politique documentaire et d’archivage, et assurer la cohérence des documents et des informations du SI… Un vrai métier.

Sources : Doc & Print

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